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| | (libre) JANE LEVY ♦ say something | |
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| Sujet: (libre) JANE LEVY ♦ say something Jeu 8 Mai - 14:34 | |
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marissa " rose" rosenthal
SOME ROSES HAVE STEEL THORNS DAISY LANCASTER ( NOM MODIFIABLE) ♦ GUÉRISSEUSE ♦ PRO-POUDLARD ♦ NÉE-MOLDUE ♦ EXCELLENTE EN SOIN MAGIQUE MAIS PIÈTRE DUELLISTE ♦ BISEXUELLE ♦ EST MORTE VIEILLE, TRÈS VIEILLE ♦ A RENDU DE TRÈS GRAND SERVICE AU MONDE MAGIQUE ♦ A ÉTÉ MALGRÉ TOUT OUBLIÉE DE L'HISTOIRE ♦ DOUCE ♦ INTRANSIGEANTE AVEC ELLE-MÊME ♦ AMOUREUSE ♦ SE BATTAIT POUR SOIGNER TOUT LE MONDE QUELQUE SOIT LE CAMP DU BLESSE ♦ TÊTUE ♦ DÉTERMINÉE ♦ NE SUPPORTAIT PAS D’ÉCHOUER ♦ MALADROITE DANS SES SENTIMENTS ♦ D'UNE BONTÉ A FAIRE PLEURER MÈRE THERESA ♦ A L'ECOUTE ♦ ATTENTIVE ♦ SECRÈTE ♦ FROIDE ♦ PARADOXALE.Daisy n'a pas eu de chance dans la vie. Absolument pas. Enfant d'agriculteurs pauvres soumis à leur seigneur, la jeune anglaise a subi les foudres des siens. Jetée de chez elle jeune, elle était le démon, le monstre. Du jour au lendemain la douce a perdu tous ses proches. La perte la plus terrible fut son jeune frère dont elle n'a plus eu aucune nouvelle. Esseulée, seule, laissée à l'abandon, elle a du survivre à sa manière en accomplissant des actes plus ou moins louables. Voler, tromper, mentir, la jeune fille était bien déterminée à survivre. Elle a vécue avec bénédiction son arrivée à Poudlard, libérée d'un fardeau, découvrant un monde de magie, de merveilles. Elle n'était plus seule, elle n'était pas un monstre. Daisy s'est épanouie, a grandie jusqu'à ce que la guerre surgisse à pas feutrés. Elle a vécue avec horreur la chute de Beauxbatons, comptant les morts avec amertume. Elle aurait tant aimé les sauver tous. Elle aurait tant aimé être apte à tous les sauver qu'ils soient ses ennemis ou ses amis. Elle était ainsi Daisy un cœur énorme, plein d'une étrange bonté. Promise alors au sort de milliers d'autres étudiants, elle a décidé d'être celle qui les sauverait, elle a décidé d'être cette flamme douce qui saurait apaiser leur maux et les sauver. Guérisseuse de grand talent, on compte encore aujourd'hui ses nombreux soldats sauvés par ses doigts de fée. Elle n'avait peut-être aucun sang noble dans ses veines, mais elle était noble de cœur. Sans distinction pour un des camps, elle était quiconque réclamait son attention. Mais rien d'étonnant pour celle qu'on disait être l'élève de Briséis ? L'histoire nous la conte comme un de ses êtres détruits par la violence, mais serait-ce l'amour qui l'a tué ? Elle a vécu vieille, mais la vieillesse & les souvenirs ont balayés ce qu'il restait de la jeune Daisy. Encore une autre enfant sacrifiée sur l'autel de cette guerre sans nom.
MARISSA ROSENTHAL ♦ SURNOMMÉE ROSE POUR SA DOUCEUR ♦ SANG-PUR ♦ ÉCOSSAISE ♦ BÂTARDE D'ELEAZAR ROSENTHAL ♦ VINGT-ET-UN ANS ♦ MEDICO-INTERNE ♦ EST CAPABLE DE FERMER SES ÉMOTIONS AUX EMPATHES ♦ DOUCE ♦ PÉTILLANTE ♦ PLEINE DE VIE ♦ ÉCLATANTE ♦ MAIS SEULEMENT EN APPARENCE ♦ EST UN CAMÉLÉON, S'ADAPTE AUX SITUATIONS, AUX CARACTÈRES ET AUX PERSONNES QU'ELLE A EN FACE D'ELLE ♦ MATERNELLE ♦ PROTECTRICE ♦ VIVE ♦ INTELLIGENTE ♦ MANIPULATRICE ♦ JALOUSE ♦ POSSESSIVE ♦ A LA RAGE DE VAINCRE ♦ AVIDE DE FAIRE SES PREUVES ♦ MANIPULATRICE QUAND IL LE FAUT ♦ EST CAPABLE DE JOUER SUR TOUS LES TABLEAUX ♦ APAISANTE ♦ CALME ♦ A UN SANG-FROID MONSTRUEUX ♦ EST CAPABLE DE DEVENIR VIOLENTE MALGRÉ TOUT, SURTOUT QUAND ON TOUCHE A CE QU'ELLE AIME ♦ FIANCÉE ♦ EST UN MONSTRE DE CONTRÔLE ♦ SAIT SE MONTRER PERSUASIVE. ♦ ANCIENNE SERPENTARD OU GRYFFONDOR. ♦ A SA BAGUETTE FRAPPÉE D'UN « IT'S ALWAYS DARKEST BEFORE THE DAWN », CADEAU DE SON PÈRE.
Marissa Rosenthal, sans aucun doute, lui donneriez-vous le bon Merlin sans duel ? Vous auriez tord. Derrière ses yeux clairs et ses boucles rousses se cachent la rose la plus terrible de cette famille d'empathe. Jetée aux yeux du monde comme l'enfant du pêché, la belle fait partie de ses enfants brisés par les autres. Tromper celle qu'on disait la raison de vivre d'Eleazar Rosenthal a un prix féroce que la gamine a payé au centuple. Née d'une mère inconnue, elle a toujours gambadé dans le château familiale jeté dans les Highlands, la belle enfant. Elle était un peu protégée quoique malmené par ses demi-frères. On ne naît pas fille aisément chez les Rosenthal. On ne ne naît pas bien sans l'empathie aussi. Dénuée du précieux don, elle a été rejetée d'autant plus fort par ses aînés. Petite fille seule dans sa tour d'ivoire, son père en a pourtant fait sa princesse. Chouchoutée, adulée, elle a été soumis aux mêmes entraînements que tout empathes. Elle devait être apte à se défendre contre ses frères, elle devait être apte à être cette froideur guidée par le fer implacable de ses sentiments. Au final, Eleazar Rosenthal lui a donné les armes pour se défendre. Il ne lui restait qu'à s'épanouir, exploser au grand jour. Elle a fait taire les langues médisantes sur son statut d'enfant adultère, elle a effectué une scolarité brillante, sans remous, sans malheurs quelconque, bien loin des doigts de sa vie antérieur. Elle a épousé sa nature profonde, démêlé les moqueries, les mots méchants, elle a accepté d'être cette rose a l'apparence tendre, cette rose sans épines. Elle a accepté les mots, son statut, de ne pas être l'héritière. Elle a compris. Elle l'admet avec une facilité déconcertante. Mais il serait fou de ne pas saisir à quel point elle pourrait s’avérer dangereuse. | cordelia swan ( sofia romanov) passé ♦ Ses yeux bleus n'exprimaient que peu de chose, mais le peu disait déjà beaucoup pour la petite Daisy. On disait que dans ses yeux, quand ils se posèrent sur celle qui avait trahie, il y avait une étrange fascination dérangeante, quelque chose de gros, plus gros que l'être de la rousse. Elles étaient amies pour le commun des mortels. Elles riaient aux éclats sans malaise, aucun, dans les couloirs, alors que la guerre grondait, que des hommes mourraient, pour ceux qui ne savaient pas voir. Ils ne pouvaient voir cette main qui semblait innocente dans le dos de la Romanov. Ils ne pouvaient pas voir les yeux bleus perçants s'accrocher à la silhouette de la fiancée. Dans ses yeux là, il y avait les tourments de l'amour non réciproque, éconduit. Dans ses yeux là, il y avait le feu brutale d'un incendie qui s'élève & qui souffle des gestes incongrues. Daisy, l'enfant de rien, avait cette passion au bord des lèvres, au bord du cœur, au bord des yeux pour l'enfant de tout. Elle avait l'habitude de se trahir dans un geste, dans un frémissement. Elle demandait trop à Sofia. Mais comment condamner le besoin qu'elle avait d'elle, le besoin de sa présence ? Véritable baume au cœur, entre tendresse et blessures, Daisy l'aimait à la folie, bien trop. Elle n'en a jamais dit mots. Elle se taisait. Elle s'est toujours tût. Même quand Sofia a trahie, même longtemps après que tout soit fini. Daisy, au final, n'a jamais su panser ses blessures. Sans doute, Sofia lui manquait bien trop. Le cœur a ses raisons que la raison ignore, dit-on.
présent ♦ Elles ne sont que haines l'une envers l'autre. Cœur de glace, cœur de givre, elles l'ont toutes les deux dans la peau, elles l'ont aimés l'une et l'autre. Mais il ne reste que trahison pour Cordélia. Il ne reste que des cendres de son amour pour Robyn pour Rose. Pourtant une braise dort sous la cendre et il ne suffirait que d'un souffle de la part de la rivale de la Rosenthal pour que tout s'embrase encore, pour que la jolie Rose soit consumée dans le feu d'un amour qu'elle ne peut effacer, endiguer. Elles ne se sont jamais vues. Le souhaitent-elles seulement ? Mais elles se haïssent l'une et l'autre, si fort, si puissamment, ne voyant dans l'une & l'autre qu'une sombre plaisanterie. Marissa pense être la seule et l'unique dans le cœur de son fiancé. Si seulement, elle savait, elle pourrait ressentir qu'elle n'est qu'un dupe, une stupide contrefaçon de Cordélia. Les mêmes cheveux roux, les mêmes yeux clairs, la vérité, douce et délicate Rose, c'est que tu n'es qu'une remplaçante. Tu n'égaleras jamais l'originale. Il faudrait t'habituer dés maintenant, avant que ton cœur se brise en mille morceaux, avant que tu comprennes que tu ne fais pas le poids. Penses-tu réellement l'égaler quand tu brandiras ta baguette ? Pauvre enfant, ton père ne t'a pas bien appris, tu ne peux pas gagner contre elle. Tu ne peux pas lutter que ce soit sur les sentiments de Robyn ou bien dans un combat loyale avec la rousse. Elle est ton double, malheureusement, tu n'es pas celle dont il rêve. Tu ne le seras jamais." | robyn lysaght Elle ne sait pas pourquoi est ce qu'elle a accepté ce rendez-vous organisé. Elle préfère les rencontres spontanées, celles qu'on trouve au détour d'une rue, celles auxquelles on ne s'y attend pas. Mais elle est là, dans sa petite robe, à attendre sagement ce "Robyn" qu'elle n'a que trop entendu dans la bouche de son collègue, Flynn. Il est son meilleur ami, alors il n'est sans doute pas objectif mais tant pis, il est trop tard pour faire marche arrière. Et puis, elle le voit arriver, dans son costume un peu trop grand. Il a l'air malade, il a ce regard vague, une expression qu'elle n'arrive pas à déchiffrer. Flynn l'avait prévenu qu'il était encore un peu fragile mais qu'elle l'adorerait instantanément. Et étrangement, cela a été le cas. Il était maladroit dans ses gestes mais aussi dans ses mots, il la faisait rire alors que ce n'était même pas intentionnel. Il n'était pas dans l'optique de la séduire, il cherchait simplement à la connaitre, et ça lui suffisait amplement. Quand ils se sont quittés ce jour-là, elle a su qu'elle le reverrait. Et les rendez-vous se sont multipliés, se sont éternisés, sans qu'aucun d'entre eux ne fasse véritablement le premier pas. Elle était patiente avec lui parce qu'elle savait qu'il lui était difficile de s'ouvrir pleinement. Elle ne savait pas ce qu'il traversait, ce qui lui était arrivé, mais elle avait envie de l'aider, de l'apaiser. Parfois, c'était plus compliqué, il se montrait dur et froid, mais elle avait continué à s'immiscer doucement dans son quotidien, apprenant à le connaitre, découvrant qu'il était intelligent, romantique et aimant. Et elle a eu raison. Robyn a repris goût à la vie. Elle lui a réappris à vivre, à goûter aux petites choses de la vie et à profiter de chaque instant qui lui permettait de le faire. Grâce à elle, il a retrouvé son ancien lui, celui qui lui avait tant manqué. Il a repris le boulot, en entrant dans l'équipe de quidditch de son pays natal, l'Irlande, devenant une véritable célébrité. Et elle, elle était toujours là, derrière lui. Pour cet acte de bravoure, il l'a embrassé après une énième sortie, tous les deux. Il l'appréciait réellement. Elle était devenue son soutien, quelqu'un de nécessaire à sa stabilité, à son bien-être. Et tandis qu'elle en rêvait depuis tellement longtemps, Robyn se perdait dans cette illusion d'amour parfait. Au fond de lui, il savait qu'il se voilait la face, parce que malgré le profond attachement qu'il éprouvait pour elle, malgré tout l'amour qu'il lui portait, il savait qu'il manquait quelque chose. Puis le rendez-vous s'est transformé en des fiançailles, après une victoire de l'équipe de Robyn. Et peu de temps après, ils ont emménagé ensemble. C'était une évidence pour elle. Le problème, c'est pas elle. C'est lui. Elle aurait été la femme la plus belle du monde sorcier, la plus brillante de sa génération, il n'aurait jamais pu lui offrir ce qu'elle rêvait tant, parce que lui, il en aime une autre. Il en a toujours aimé une autre. Cordélia, qui a disparu. Cordélia, qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Cordélia, celle qui l'a détruit, celle qui, finalement, leur a permis de se rencontrer. Rose n'en a pas conscience. Elle ne connait pas le passé de Robyn, n'a jamais su pourquoi il était tombé si bas, autrefois. Du moins, elle ne le sait pas encore. Et elle aura beau tout faire pour le garder auprès d'elle, elle ne pourra éternellement lutter contre cet amour. |
Ēchṓ Laertiadis ( Briséis Peyredragon) passé ♦ On raconte beaucoup de choses et d'autres sur la relation qu'entretenait les deux jeunes femmes. Certains la décrivent comme étant rempli d'une étrange admiration et d'une dévotion sans borne, d'autres comme tirant sur sa fin & souffle que la jeune Daisy a bien été arrangé par la disparition de la dragonnière. Nulle ne sait la vérité, si ce n'est les deux jeunes femmes. Briséis a été pour Daisy ce professeur, cette source immense de savoir sur des connaissances magiques qui lui manquaient cruellement. L'une et l'autre étaient dans un certain sens alliées, voir amies, elles voulaient sauver des vies. Daisy était une élève appliquée, intéressée, intransigeante avec elle-même. Certains soufflent même qu'elle aurait peut-être pu dépasser le maître si jamais la belle française n'avait pas disparu. Daisy aurait dit que personne et surtout pas elle aurait pu dépasser quelqu'un comme Briséis. Mais elle tremblait le jour du départ de la blonde, comme une feuille. Elle avait été prise comme une enfant les mains dans le sac. Ses sentiments ont jailli de la bouche de la française, ses sentiments exposés et elle n'a su rien dire quand celle-ci lui a promis la souffrance, la douleur de son propre cœur écrasé sous le poids de quelque chose qui ne pouvait être retourné. Pourtant, dans un murmure, elle lui a soufflé que si le contrôle de son cœur venait à lui échapper, elle ne serait pas la seule à en pâtir. Bien au contraire, elle clouerait aussi Sofia, son amour, sur la croix des supplices. Daisy sait, au fond, qu'elle a su se taire à cause de la mère des dragons. Sa langue refusait de dévoiler quelque chose qui n'aurait fait qu’accabler son aimée et c'est les mots de Briséis qui n'ont eu de cesse de tourner dans sa tête. Au final, Daisy avait une tendresse particulière pour cette maîtresse franche et directe, elle a pleuré avec regret sa mort, ne pouvant supporter, ni endurer sa disparition. Daisy n'a jamais été un être de rancœur, mais elle aurait tant aimé la remercier.
présent ♦ Rose a vu l'enfer et la folie dans les yeux d'Echo. Véritable incendie, la rousse a vu la brune commettre l'irréparable. Meubles, fenêtres n'ont pas su résister à la crise de la grec. Elle a vu le feu se répandre, grandir, avaler sans qu'il puisse s'arrêter, grandissant comme un brasier, menaçant de la dévorer. Tu revois tes compagnons d'infortune se jeter sur elle, tenter de maîtriser ce monstre sorti de l'enfer et qui se sont faits repousser, percutant les murs dans un craquement sinistre. Elle criait, les mains de chaque côté de sa tête. Tu as vu l'enfer en quelques secondes, tu ne voulais pas mourir ce jour là. Terrée dans un coin, tu as supplié pour le revoir. Et soudainement, elle s'est calmée, brisée par sa crise. Un frisson d'horreur, cette fille est dangereuse, horriblement dangereuse. Tu voudrais juste l'enfermer et jeter la clés de sa prison pour ne plus jamais qu'elle en sorte. Ce sentiment fut renforcé quand tu as compris que Robyn la connaissait. Tu ne veux pas qu'il l'approche. Ses sourires ne peuvent être que faux, sa gentillesse de la poudre aux yeux, Echo est une hypocrite. Echo ne devrait pas côtoyer ton Robyn. Alors tu essayes de le convaincre de s'éloigner, de ne plus s'approcher avec des mots, de la douceur en usant de ta manipulation. Tu ne comprends pas pourtant que de la même manière que tu ne peux rien contre l'amour de Robyn pour Cordélia, tu ne peux rien contre Echo. ." | castiel artur rosenthal « Hors de mon chemin, la bâtarde. », tu jauges ta sœur, ta demi-soeur. Ces cheveux roux caressent ses épaules, elle penche la tête, s'interroge. Ta demi-soeur, cette injure que fait ton père à ta mère, accrochant votre nom dans une souillure infâme. Un rictus apparaît. « Dégage, la morveuse. », craches-tu. Elle a beau être d'un an ta cadette, tu lui rends la vie impossible, invivable. Tu l'aimes, mais mal. Mal car elle t'a remplacé. Ton père ne te regarde plus. Princesse rousse, princesse lumineuse, ces doigts s'emmêlent à ces cheveux, un sourire doux ou taquin. « La jalousie te va mal, grand frère. ». Petite peste, elle sait jouer, elle a beau ne pas être empathe, elle connaît des ficelles que seuls elle ou ton père peuvent tirer. Elle a bien appris. « Tais-toi. ». Elle rit de ce rire cristallin qui ferait fondre n'importe qui, sauf toi. Tu sais qu'elle est un putain de monstre, qu'elle est loin d'être si gentille, si douce. Elle te rafle tout. Et la haine explose, gicle, amer, dégueulasse, immonde, ferreuse. Tu as juste envie de lui cracher à la tronche combien tu hais partager le même sang qu'elle. Tu voudrais juste qu'elle disparaisse, que ton père n'ait pas déserté le lit conjugal. Il ne l'a jamais aimé, elle. Il n'aime personne. Sauf elle. Encore elle. Il n'en a jamais eu que pour elle. Et la rage éclatante, incendiaire te prend, te chevauche. « Et comment va ta Weiss ? », souffle-t-elle sur le ton de la confidence. Marissa a, au fond, toujours été la plus dangereuse des roses. Un masque de tendresse et de douceur comme son apparence douce et délicate, qui ne souffle qu'innocence et beauté, comme les pétales qui s'envolent au grès du vent, mais les épines sont là, tranchantes, amères, empoisonnées. Marissa n'avait d'innocence que le nom. Marissa n'était pas cet être sensible et doux, Marissa était un poison, lent, mortel qui se glisse dans vos veines. « Ferme ta putain de gueule. », siffles-tu entre tes dents, tu te sens glisser, abandonner par ta meilleure amie. L'absence est cruelle. L'absence est douloureuse, l'absence te fait perdre la tête. Et elle redresse ses yeux clairs. « Tu as toujours été faible, frangin. ». Elle tourne les talons dans une robe insolente, glissant jusqu'à son petit ami du moment. Ouais, tu le sais. Mais c'est elle qui aura ta peau, c'est elle qui te donnera le coup de grâce, c'est elle la belle, l'énergique, la pétillante qui est ton assassin. Marissa, cette rose effrontée et calculatrice. Ma-ris-sa, trois bonds sur ta langue, elle t'écorche les lèvres et le cœur. Bon dieu que vous vous aimez mais qu'est-ce que c'est mal." |
eleazar rosenthal Son père. Le regard froid pour le reste de l'univers, sauf pour elle, c'est son père, cet homme aux cheveux grisonnants et au pouvoir incompris. Au fond, malgré tout l'amour qu'il lui porte, Marissa ne peut que le détester. Il a fait d'elle un monstre, une tache sur le nom si parfait des Rosenthal. Il l'a privé de sa mère, a anéanti le peu de bonheur qui lui restait. Il est bien connu qu'un homme de la stature d'Eleazar Rosenthal prend ce qu'il veut. Il a pris Marissa à sa mère sans un seul regret. Elle était sienne sa princesse rousse. Il n'a voulu la céder à personne. Elle a été élevée comme une reine mais une reine dans son palais de solitude. La belle enfant a toujours été seule. Et au fond, elle en veut à son père de lui avoir imposé ce statut d'enfant bâtarde, de tâche. Illégitime, elle en a gardé de profondes séquelles même si ce père tant aimé et détesté lui a appris à n'en rien montrer. Elle vaut mieux que ça, c'est une Rosenthal. Elle a du mal, Marissa, avec son père. Elle l'aime, oui, mais mal. Elle ne peut s'empêcher de lui envoyer ces erreurs à la tronche et lui ne s'ébranle pas. Ça la frustre de ne pas le toucher, ça la tue de voir qu'il ne réagit pas. Elle ne se rend pas compte combien elle peut lui faire du mal. Eleazar assume, subi en silence. L'amour n'est-il pas, au fond, cruel ? | |
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crédits |
| | | InvitéInvité |
| Sujet: Re: (libre) JANE LEVY ♦ say something Jeu 8 Mai - 14:51 | |
| COOOOOOUCOU TOI
merciiiii d'avoir pris le temps de lire rose sache que c'est un scénar' qui tient à coeur à tous ses liens et que tu as déjà fait le bon choix en cliquant sur ce titre (a). on risque de te construire un temple en chocolat mais passons aux choses sérieuses :
sache que le vava est tout à fait négociable pour une autre rousse aux yeux clairs, il faut qu'elle ressemble un peu à holland, c'est essentiel pour le lien avec cordy mais aussi avec robyn. le prénom et le nom ne sont absolument pas négociable, étant donné qu'elle est évoqué dans différentes fiches et les familles prédéfinies. on tient également beaucoup à son surnom. sa vie antérieure concernant son âge est modulable et sur d'autres aspects aussi ses liens ne sont absolument pas négociables, on y tient et si tu as d'autres questions, précipite-toi sur nos boites à mp
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ROBYN QUI S'INCRUSTE PARCE QU'IL EN A ENVIE
je ne vais pas répéter ce qu'a dit castiel, je voulais seulement rajouter que, même si c'est sans doute évident, rose et robyn ne finiront pas ensemble, ce qui n'empêche pas le fait qu'il aura toujours beaucoup d'affections pour elle (à voir si elle pensera toujours pareil ) et qu'elle a été très importante dans sa vie. du coup, n'hésite pas à créer un scénario, ou à créer prochainement un lien qui tournera en lien amoureux. :3:mais avant d'arriver à une rupture, il se passera beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses
pour en savoir plus sur leur couple, j'ai écrit une anecdote :
- Spoiler:
« Tout va bien, Robyn… tout va bien. » Elle lui caresse les cheveux d’un geste tendre, presque maternel, alors que les traits du jeune homme semblent se dérider. Il ne fronce plus les sourcils. Elle a chassé ses mauvais rêves… jusqu’au lendemain. Elle esquisse un timide sourire et elle se risque un baiser sur ses lèvres avant de s’allonger tout contre lui. Aujourd’hui, ils ont fêté leurs deux ans. C’est long, deux ans. Robyn n’en a eu conscience que lorsque Flynn le lui a rappelé, entre deux sujets de conversation sur la stratégie que son équipe de quidditch devrait adopter pour le prochain match. Pris de court, il est resté un instant silencieux, comme s’il réalisait enfin tout le chemin qu’il avait parcouru. Ça a été difficile, autant pour lui que pour ses amis. Ils n’auraient jamais pu croire voir un jour Robyn dans un tel état de désespoir. Il faisait peine à regarder. Il s’éteignait, il mourrait à petit feu. Peah était incapable de passer quelques heures avec lui sans qu’elle ne craque. Il jouait les gros durs en rejetant tous ses proches mais il souffrait et eux, ils le voyaient sans qu’aucun ne puisse y réagir. Les disputes ont été nombreuses. Les cris et les larmes ont longtemps rythmé son quotidien. Mais la vie continuait. Et puis, Flynn a eu les mots. Il a pris les devants. Il n’était pas prêt à perdre quelqu’un d’autre. Après une énième dispute, un énième débat, il a convaincu l'anglais de reprendre sa vie en main. Et la première étape dans ce processus, c'était d'effacer le visage de Cordélia par une autre femme. Cette femme, c'est Rose. Elle travaillait à Sainte Mangouste et croisait tous les jours Flynn. Ils s'appréciaient à leur juste valeur, mais n'avaient jamais échangé plus que de simples banalités... jusqu'à l'idée « géniale », qu’il disait, qu’il avait eu. C’est lui qui les a présentés. Mais Robyn n’était pas convaincu. Il la trouvait trop souriante, trop chaleureuse, trop parfaite pour lui alors qu’il ne se voyait plus que comme une loque. Il ne comprenait pas pourquoi est-ce qu’elle persistait à vouloir passer du temps avec lui alors qu’il n’était absolument pas dans l’optique de la séduire. Il fallait croire qu’elle avait été touchée par sa détresse. Sans qu’il n’en comprenne la raison, elle avait les bons mots pour l’apaiser, pour le détendre. Elle était patiente, et comme un enfant, elle lui apprenait à retrouver le gout des choses simples. Elle était enfantine par moment, mais elle était gentille. Parfois, il s’agaçait et la rejetait violemment, mais elle revenait toujours, comme si elle était irrémédiablement attirée par lui, ce qu’il trouvait absurde. S’il devait croire au destin, il était persuadé qu’elle n’était pas pour lui. S’il croyait aux âmes-sœurs, il savait que personne ne pourrait remplacer Cordélia, aussi adorable soit-elle. Mais les rendez-vous se sont multipliés. Puis les sorties entre amis. Certains étaient contre l’idée qu’il puisse commencer une nouvelle relation après une épreuve aussi difficile. Emory était parfois outré de les entendre débattre sur Rose et de voir combien elle pouvait être appréciée par certains. Mais il n’y pouvait rien. C’était la première fois qu’il retrouvait le Robyn qu’il appréciait tant. Il souriait à nouveau, même s’il était encore embarrassé de leur avoir offert un spectacle aussi décevant de sa part. Il était encore un peu timide, mais il était de retour. Et c’était bon à regarder. Et comme s’il se sentait redevable, comme si c’était la prochaine étape pour accéder à nouveau au bonheur, il a embrassé Rose au détour d’une rue. Elle en avait trop longtemps espéré, elle, qui était déjà amoureuse de lui. Elle avait été patiente et elle avait été récompensée. C’était naturel chez elle, d’aimer quelqu’un comme lui. Il la faisait rire, il était romantique, intelligent et brillant depuis qu’il avait été choisi pour jouer dans l’équipe de quidditch d’Irlande, le pays d’origine de ses parents. Il lui faisait de petites attentions à la fin d’une journée de travail compliquée, lui offrait une rose lors d’une balade nocturne. On aurait presque dit qu’ils s’aimaient. Et tandis qu’elle le voyait comme son prince charmant, lui, ne voyait en elle que le sosie de son être aimé. Ses sentiments étaient confus, et tout l’amour qu’il ressentait pour Cordélia s’était mélangé aux sentiments de gratitude qu’il avait à son égard. Il l’appréciait, il en était certain, mais ce ne serait jamais un amour aussi grand que celui qu’il portait à sa défunte. Elle n’était pas toujours facile à vivre mais ses manières de bourgeoises le faisaient rire et surtout, elle avait un grand cœur. Un cœur aussi grand que le cosmos. Et puisqu’il lui fallait continuer à vivre, autant le faire en bonne compagnie. Leur relation était tranquille. Simple. Sans doute un peu trop, mais pour Robyn, c’était l’espoir de pouvoir enfin tourner la page. Ce soir, c’est fait. En rangeant l’écrin dans l’une de ses poches, il a réalisé que c’était définitivement terminé. Cordélia ne reviendrait plus. Et puis, tant pis. Il a emmené Rose dans l’un de ses restaurants chics où il avait réservé la table la mieux placée. Une table située au centre de la salle, exprès. Il aimait faire les choses en grand et Rose l’appréciait aussi pour ça. Elle soupçonnait déjà quelque chose, encore plus quand elle a réalisé que Robyn était plus nerveux qu’à l’accoutumée. Et quand il s’est soudainement levé, qu’il a posé son genou à terre, elle a littéralement explosé de joie. Robyn n'aurait jamais cru voir une fille aussi excitée que ce soir-là. Une vraie pile électrique. La soirée qu'ils ont passé, a été digne d'un conte de fée, jusqu'à ce qu'ils s'endorment l'un contre l'autre. Comme si, au fond de lui, il était persuadé de faire une erreur, Cordélia est revenue le hanter dans ses rêves les plus sanglants. Il n'a jamais rien raconté à Rose. Elle n'a jamais su réellement ce qu'il s'était passé pour qu'il tombe si bas alors qu'il était si grand. Et il ne le fera sans doute jamais. Après tout, Cordélia n'est plus qu'un fantôme de son passé. Jamais, elle ne reviendra.
et si tu as d'autres questions, n'hésite pas à venir nous harceler, on adooooore ça
ALLEZ VIENS, ON SERA TELLEMENT BIEN
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ET CORDELIA VOUS CROYEZ QUOI.
viens là que je te casse les dents ma belle. (j'déconne bacon, on va s'kiffer même si nos persos vont se haïr. )
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RE CASTIEL
TU AS VU COMME ON T'AIMERA SI TU PREND MARISSA? ALLLEZ VIENS, ON EST BIEN |
| | | InvitéInvité |
| Sujet: Re: (libre) JANE LEVY ♦ say something Sam 10 Mai - 21:39 | |
| Je suis donc là. Je vois que le scénario est très attendu, ça me met la pression je l'avoue. En tout cas j'ai eu un réel coup de coeur pour ce personnage et je suis vraiment super pressée et motivée à l'idée de l'interpréter. |
| | | InvitéInvité |
| Sujet: Re: (libre) JANE LEVY ♦ say something Sam 10 Mai - 21:47 | |
| JE SUIS PASSEE SOUS CASTIEL POUR TOI. PARCE QUE JE DEVAIS TE PASSER MON AMOUR tu as déjà eu mon mp, mais je reveux te faire une overdose de smiley. parce que tu étais genre attendue comme le messie sérieux, ça fait des jours qu'on parle de toi, qu'on brule une cierge en ton honneur tous les soirs en suppliant les dieux du rp et tu es là, parfaite, divine, rousse je te donne donc mon corps, mes persos, je te donne même le droit de faire du mal à eleazar. on va s'amuser, on va faire les vahinés. on ira chanter sous la lune franchement nous ça va être une putain de belle histoire d'amour par contre, je dois t'avertir on te laissera plus jamais partir, on te coulera sous les bisous, on te fera des bébés. tu es notre princesse bref si tu as des soucis, des envies, des besoins tu nous mpotte, ou tu vas sur la box, perso j'y passe ma vie la box passe y c'est un univers merveilleux |
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| | | | (libre) JANE LEVY ♦ say something | |
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