Di Fazio ♦ Smoke on the water

Achille Marco Di Fazio

I feel something so right by doing the wrong thing and I feel something so wrong by doing the right thing. I could lie, could lie, could lie...Everything that kills me makes me feel alive !

Igor Hristov ♦ mort à 29 ans ♦ sanguinaire ♦ dirigeant de la Marche du Sud de Durmstrang ♦ fiancé à son amour de toujours, Ros Askarov ♦ l'a martyrisé jusqu'à sa mort, mais il l'a aimé surtout, à sa manière ♦ charismatique ♦ pleins d'ambition ♦ sans scrupule ♦ inventif ♦ monstrueux ♦ talentueux ♦ immoral ♦ sans patience ♦ manipulateur ♦ cruel ♦ intelligent ♦ duelliste hors-pair ♦ infidèle ♦ drôle, dans son genre ♦ observateur ♦ ne supporte pas le refus ♦ bulgare ♦ riche ♦ dérangé

Ach' ♦ 24 ans ♦ ancien gryffondor ♦ batteur dans l'équipe nationale de Quidditch Anglaise ♦ fêtard ♦ éternel célibataire ♦ coureur de jupon ♦ renié par sa famille ♦ les responsabilités lui filent des boutons ♦ amuseur de foules ♦ glandeur international ♦ charismatique ♦ impressionnant ♦ affectueux ♦ pourrait travailler pour les blagues carambar ♦ ne comprend rien aux sentiments ♦ mais préfère se dire qu'il s'en fou ♦ se fout de tout en fait ♦ allergique à toutes sortes d'autorités ♦ ses parents en faisant parti ♦ cynique ♦ aborde la vie à sa façon ♦ carpe diem ♦ n'a pas un mauvais fond ♦ gentil ♦ égoïste ♦ tourmenté ♦ préfère fuir plutôt que d'affronter ses responsabilité ♦ A perdu son frère et la femme qu'il aime à cause de ça ♦ collectionne les coups d'un soir ♦ le quidditch est la seule chose pour laquelle il veut bien s'impliquer un minimum ♦ a quitté son appartement miteux pour quelque chose plus à sa hauteur ♦

Achille, quand on connaît la mythologie moldu on a bien envie de savoir où se trouve sa faiblesse à lui. C'est certainement son immaturité. Il est tellement immature qu'il ne remarque même pas qu'il fonce droit dans le mur. C'est à ce demander si c'est une preuve de bêtise ou de courage. Un peu des deux , peut-être. Il est asse courageux pour aller jusqu'au bout de ses idées, il n'a pas hésité à tenir tête à son père, quand il a appris sur sa vraie « nature ». il a préféré vivre comme un pariât dans un vieil appart miteux plutôt que de devoir vivre différemment juste pour faire plaisir à son père, ou à sa famille tout entière. Il a même laissé son frère derrière lui. On peut aussi se dire qu'il à fait ça par pure lâcheté, mais il ne faut pas oublier que c'est un gryffondor. Toutefois, on ne peut pas nier que dans cette histoire il n'y a pas que l'intégrité qui a parlé chez lui, sa fuite des responsabilités a fait beaucoup. Il ne supporte pas l'idée que l'on puisse compter sur lui, qu'il puisse avoir des comptes à rendre. Il veut être libre de toutes responsabilités, n'avoir à se soucier de personne et surtout pouvoir faire ce qu'il veut, quand il veut. Mais son côté je m'en foutiste lui permet d'organiser les meilleures fêtes de tout Poudlard. Il faut dire qu'il a tellement assisté à ce genre d'événement qu'à la longue il les connaît par cœur.

Le beau parleur, Achille aime faire des plans sur la comète, refaire le monde, le voir meilleur, même s'il ne fait pas grand chose pour le changer. Et ce qu'il préfère dans la vie, c'est les filles. Ah ça on peut dire qu'il les adore et il sait y faire pour les attirer à lui, sa belle gueule aidant. Les soirées sont un bon moyen d'en rencontrer des nouvelles, mais la bibliothèque aussi, c'est d'ailleurs l'unique raison pour laquelle on peut le croiser là-bas. Aucunement pour réviser, il ne faut pas déconner. Les filles il les collectionne, parce que là aussi il ne veut pas s'attacher ou avoir de responsabilités et il sait très bien que le couple ce n'est fait que de ça. On se fait des promesses , on ne les tient pas, on se fait souffrir , on se fait des reproches et ainsi de suite. Et ça franchement, il n'en veut pas.

En gros on cherche toujours où se trouve ce fameux talon d'Achille.

comment ça se passe niveau taff, t'es content de ce que tu fais ? Je fais parti de l'équipe nationale de Quidditch, comment ne pas être content de ça ? Faudrait vraiment être difficile quand même. Je n'aurais pas pu avoir mieux comme taff. et ta famille t'as le temps de la voir, ils te manquent pas trop? Ma famille, ça fait bien longtemps que j'ai fais un trait dessus, on a pas la même façon de voir les choses, à croire que j'ai été adopté à la naissance. Donc, non je n'ai pas le temps de les voir, mais ça me va très bien. et les amis ça s'passe comment, t'as des faces de scrout à pétards que tu voudrais bien déglinguer ? J'ai toujours été plutôt populaire, donc je suis toujours bien entouré. Bien entendu que j'ai envie de déglinguer certains Scrouts, mais je ne vais pas me salir les mains pour eux. allez, fais pas ton troll, je t'ai grillé(e), parle moi de l'élu(e) de ton cœur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien ? Je suis célibataire et j'ai bien l'intention d'en profiter. Quand on a autant de succès que moi, ça serait dommage de s'arrêter à une seule personne, non ? Puis mon ex n'a pas supporté de me partager. d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi ? Je n'ai jamais eu à faire à ce machin-là j'y pense d'ailleurs, t'es allé où à l'école et c'était comment? J'ai eu la chance d'entrée à Hogwart, chez les gryffons. C'est là-bas que j'ai développe mon talent pour le Quidditch. t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie ? Glander, c'est bien. hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde ? Arrête de jouer les pucelle effarouchée et devient un homme, t'as des gens à égorger.

DERRIÈRE LE MIROIR MAGIQUE :

I have a dream

Don't blink

Les cris envahissent les lieux. Et je suis là, un sourire victorieux sur le visage, j'ai plutôt fier allure avec cette peau de bête sur les épaules. Les cris ne me dérange pas, bien au contraire, ça m'emplit d'une joie étrange, presque jubilatoire. Une femme, à moitié nue se trouve sous moi, elle pleure, elle se débat et moi je ris. Il ne m'est pas difficile de la maintenir au sol, elle est si frêle et moi si puissant. Je n'ai même pas besoin de mes deux mains pour l'empêcher de s'échapper. Le viol n'a pas l'air de me déranger, un rire gras s'échappe de ma gorge alors que je fais ce que j'ai à faire. Un des bras de la femme s’échappe de mon emprise et elle vient écraser son poing contre ma mâchoire dans un espoir de s'échapper. Je bouge à peine, elle est à bout de force et son coup est à peine plus fort qu'une caresse. Je me mets à rire, un rire de fou. Ma propre main vient entourer sa gorge si fine, d'une blancheur de porcelaine, à peine entaché par la boue. Mes doigts se referment autour de celle-ci, je peux sentir son pouls s’accélérer encore. Elle essaye de crier, mais sa gorge est bien trop serré pour qu'aucun son puisse s'en échapper. Je peux sentir un sourire carnassier sur mon visage, alors que la panique s'affiche sur le sien. Sa main libre essaye de détacher la mienne, mais elle n'a pas assez de force et mes doigts continuent de serrer, inlassablement. L'air va bientôt lui manquer, je le sais et c'est ce que j'attends, j'ai envie de voir la vie la quitter en même temps que son dernier souffle. Ça lui apprendra à vouloir lever la main sur moi. Pour qui se prend-t-elle. Bientôt, son corps arrête de s’agiter sous le mien. Elle est immobile, son pouls s'est arrêté aussi, ses yeux n'ont plus peur, ils sont vides. Je me remet à rire, fier de ce que je viens de faire.

Je me réveille en sursaut, je suis littéralement trempé de sueur, je peux sentir les quelques goûtes glisser sur mon front. Je passe une main dans ma nuque. Main que je ne tarde pas à ramener devant mes yeux, avec la deuxième, je les observe sous toutes les coutures. Non, ce n'est pas possible, elles n'ont jamais servit à étrangler personne. Elles n'ont pas l'air de mains de meurtriers. Je le saurais sinon. Je me lève et me dirige vers la salle de bain, j'ai besoin d'eau froide. Ce rêve m'avait l'air si réelle que l'espace d'un instant, j'ai vraiment eu l'impression d'étrangler cette femme. Qu'est-ce qui m'arrive ? J'ai du trop abuser de l'herbe magique hier soir.

Les cours ça m'ennuie réellement, je n'arrive pas à me concentrer sur ce que le professeur raconte, enfin encore faudrait-il que je me mette à écouter, c'est vrai. Je griffonne des petits dessins sur mon parchemin, les yeux dans le vague. Au bout de quelques instants, je viens poser ma tête sur mon bras. J'ai les paupières lourdes.

Une certaine euphorie s'est emparé de moi, mais je ne tiens pas à le montrer, ce ne serait pas une bonne chose. L'euphorie à l'air d'avoir envahie chaque personnes que je croise. Je baisse les yeux et je me rend compte que je porte une tenue de soirée. L'euphorie doit venir de là, une soirée doit avoir lieu bientôt. Cool. Soudain, quand je relève la tête, je vois une magnifique brune dans une robe d’albâtre. On pourrait presque la prendre pour une Nymphe. Je n'arrive pas à détacher mes yeux de cette femme, que je vois dans le miroir. Elle m'a vu et quand nos regard se croise, je n'arrive pas à retenir un petit sourire discret. Ros. Son prénom me vient comme une évidence. J'ai l'impression de la connaître depuis toujours. Je la connais depuis toujours. Je m'approche d'elle. « Tout ce que je vois c'est que je vais avoir la plus belle des cavalières. » répond-je à son commentaire. Elle vient me faire face, son visage tout près du mien. Cette proximité est plus qu'agréable. Je plonge mon regard dans le sien, ses yeux bleus ont l'air occupés ailleurs. Nos lèvres sont si proches qu'il me suffirait de bouger ne serait-ce que de quelques centimètres pour l'embrasser. Mais non, c'est bien trop facile. Je fais un pas en arrière, prenant de la distance. « M'accorderiez-vous cette danse, mademoiselle Askarov ? » Je n'aime pas faire les choses comme tout le monde et même si la musique ne monte pas jusqu'ici, j'ai envie de partager ce moment avec elle. Ça à l'air d'être important pour moi. « Avec plaisir monsieur Hristov. » comme je pouvais m'en douter elle accepte et je mène la danse, il ne peut pas en être autrement. Pleins d'assurance je la fais danser au rythme d'une musique imaginaire. Nos deux corps sont collés l'un à l'autre. Une nouvelle fois je brise cette proximité, mais je ne me recule pas autant. Un prénom franchit ses lèvres, ça à l'air d'être le mien. Une envie dévorante s'empare de moi, quelque chose qui a eu l'air de me trotter dans la tête depuis un moment. Je m'approche d'elle et cette fois-ci, je colle mes lèvres aux siennes, sans même lui demander son avis, je peux voir dans ses yeux qu'elle en a autant envie que moi. Ce baiser sur plusieurs secondes et il n'est plus question de faux-semblants durant ce cours laps de temps. Un sentiment nouveau règne dans mon esprit, une sorte de plénitude. J'ai enfin trouvé ce que je cherchais. « Ne dit rien. Il fallait que je vois ce que je ressens pour toi. » Parce qu'il faut bien mettre les choses au clair à un moment où un autre...

« Monsieur Knight, vous êtes avec nous ? » mes yeux souvrent soudainement quand une voix retentit à mes oreilles. Plusieurs pairs d'yeux sont tournés vers moi, je me suis encore endormi en cours. J'ai du mal à m'enlever la scène que je viens de rêver de l'esprit. « Oh oui, je bois littéralement vos paroles. » dis-je histoire que l'on me laisse tranquille. Ce n'est pas comme si j'en avais quelque chose à faire de ce qui pouvait bien se raconter ici.

Ce soir, c'est soirée ! Voilà ce que j'aime à Poudlard, faire la fête et heureusement pour moi, contrairement à ce que l'on pourrait croire, il y en a régulièrement. De quoi me défouler et passer du bon temps. C'est mon élément. L'alcool coule à flot et j'en profites bien. Mon verre n'est jamais vide et heureusement ! Sauf qu'au fur et à mesure l'alcool fait son effet. Je me rapproche d'une fille, on flirt, mais ça s'arrête là. Un dernier verre, je me pose dans un coin et le bois d'une traite. Ma tête tourne et j'ai un coup de barre.

Tout est sombre ici, j'ai l'impression de ne pas être à la surface. Oui, c'est ça, je suis sous terre. Une odeur étrange imprègne l'endroit, un mélange de sueur et de peur. Cocktail explosif. Une homme passe devant moi et me salut avec respect. Ça c'est bon. Une pointe de crainte résonne dans sa voix, il n'ose même pas me regarder dans les yeux. Je bombe davantage le torse, plein d'assurance et fier. Toutefois, je ne perd pas mon temps ici, j'ai quelque chose de prévu. Cette balade n'est pas sans but. Les cellules défilent, mais je ne m'arrête pas. Je sais où je dois aller. Je me stoppe net devant une cellule qui se trouve un peu à l'écart. Une femme s'y trouve, elle est recroquevillée au fond de sa geôle. La grille grince quand je la pousse. Quand je la vois là, un vide s'agrandit en moi, c'est étrange comme sensation, je n'ai jamais ressenti ça auparavant, mais c'est cette femme, sa vue, son aura. La voir me rappel que j'ai raté quelque chose et j'ai horreur de l'échec. Soudain, une vague de haine s’empare de moi. Je bous de l'intérieur. « Lève-toi » dis-je sèchement. Elle lève les yeux vers moi, je les reconnais Ros. La jolie brune dans sa robe blanche est bien loin, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, ses yeux ont l'air moins brillants, elle à l'air éteinte. Je la vois s'efforcer de se redresser. Elle chancelle et veut attraper mon bras pour se retenir. Je fais un pas en arrière, la regardant s'écraser une nouvelle fois sur le sol. « Lève-toi incapable, ne me fais pas honte de la sorte. » ces mots sortent tellement méchamment de ma bouche.j'ai l'impression d'avoir perdu toute conscience. Elle chancelle une nouvelle fois et ma main vole, la giflant violemment. La rage m'habite de plus belle. « Tu n'es qu'une incapable. Et tu demandes pourquoi tu es encore là ? Tu n'es même pas apte à tenir sur tes jambes alors ne t'imagines même pas à mon bras. Tu n'es pas digne de moi. » la mépris peut se lire sur mon visage, je peux le sentir s'étaler sur mon visage. Je ne me rend même pas compte de toute la méchanceté que je lui envoi à la face. Une voix dans ma tête me dis que je deviens comme mon père, parce que c'est comme ça que mon père me traitait enfant... peut-être pas. Une haine nouvelle explose et je me défoule sur ce corps recroquevillé. Aussi bien verbalement que physiquement.

Je tombe sur le sol. Bordel, je me suis endormi sans m'en rendre compte et je ne suis même pas capable de rester sur place. Mes rêves deviennent de plus en plus étrange, j'arrive pas à comprendre d'où ils viennent, je dois vraiment avoir l'imagination débordante. Je n'ai plus envie de faire la fête, une sensation étrange me reste au fond de la gorge.

Le Quidditch, le sport préféré des sorciers et ce n'est pas pour rien. Après la fête, c'est mon moyen préféré de dégagé toute l'énergie que je garde en moi. Et puis, l'avantage du Quidd, c'est qu'on a pas besoin de trop se prendre la tête, bien entendu il y a toujours des gens qui pensent que c'est un sport uniquement basé sur la stratégie, blablabla, mais avouons-le, on peut très bien s'en sortir avec le talent et ça tombe bien, du talent j'en ai. Un petit match improvisé entre amis pendant les vacances, rien de tel pour se détendre. J'attrape mon balai et prend mon envole. J'adore la sensation d'ivresse que l'on peut avoir quand on est dans les airs. Je suis batteur, ma carrure me le permet. La partie bat son plein, d'un coup le trou noir.

Le vent souffle, transportant l'animosité ambiante. L'air semble palpable tellement l'atmosphère est lourd. Je peux entendre le bruit assourdissant des troupes derrière moi. Je suis en première ligne, dirigeant des Marches du Sud de Durmstrang. Tout semble se passer au ralentis. Un peu comme si tout avait décidé d'aller beaucoup moins vite. Plus rien ne compte pour moi, sauf la victoire. Les troupes de Poudlard se trouvent un peu plus loin, je le sais parce que des espions nous l'ont assurés. Nos ennemis sont en face et je n'ai pas l'intention d'attendre sagement ici qu'ils viennent nous chercher. Non. Nous allons les pousser dans leurs retranchements jusqu'à ce qu'ils nous offre la victoire. D'un geste du bras, j'invite mes troupes à me suivre et le reste va avec. On s'avance. Les armes prêtent à accomplir leur destin sanglants. Les hommes aussi y sont prêt, ou du moins, ils offrent bien le change. Je ne veux pas de lâches ou de faibles à mes côtés. On ne tarde pas à rencontrer nos adversaires de pleins fouet. La bataille commence vraiment. Je suis dans mon élément, même si je ne suis pas au premier front, après tout je ne suis pas un vulgaire soldat. Toutefois je prend part au combat et je décapite des sorciers avec délices. Poudlard recule sous la force des coups de Durmstrang. Quand on entre dans Londres, ça tape dur et là, je le vois, un peu plus loin. Maximillien Simmons. On dit qu'il est mon égal dans le camp adversaire. J'aimerais bien voir ça. Personne ne peut m'égaler. Apparemment, la même idée lui traverse l'esprit, car je le vois se diriger vers moi. Je fais de même. Et l'affrontement arrive. Ma baguette réchauffe mes doigts, le même désir dévastateur nous lie. Jusqu'ici elle ne m'a jamais laissé tomber et il n'y a pas de raison qu'elle commence maintenant. Je ne lâche rien, lui non plus et les sorts fussent. La rage s'empare une nouvelle fois de moi, faisant bouillonner mon sang et mon esprit. Je veux le voir mort, piétiner par ses troupes ou par les miennes, peu importe tant qu'il meurt. Car ici, c'est bien d'une guerre que l'on parle et il est impossible que les deux camps s'en sorte indemne et si leur héro meurt, ça mettra un coup au moral des troupes anglaises, nous permettant de les achever. Il est temps qu'ils comprennent la puissance slave. Pourtant, Simmons n'a pas l'air de vouloir se laisser abattre, bien au contraire, l'espace d'un instant je peux voir la flamme de la folie brûler dans son regard. La victoire ne sera pas aussi simple. Mais peu importe. Personne n'ose s'interposer entre nous, un peu comme si l'on était dans une bulle empêchant quiconque de nous déranger. La victoire ne peut que me revenir, c'est moi le plus doué. Toutefois, les sorts n'ont pas l'air de faire leur effet, même quand j'envoie les plus puissants et les plus destructeurs, je peux voir des gars tomber sous l'impact de certains sortilèges. Il faut que ça cesse. Ma baguette tremble entre mes doigts. Et là, le point de non retour est franchis, les sorts mortels sont lancés. Je sas très bien que je ne m'en sortirais pas vivant, il est trop tard, je suis allé trop loin, mais lui non plus ne survivras pas à cette bataille. Faible consolation face à la mort. La douleur fait son chemin, mes dents se serrent dans un dernier élan de fierté. Je vais mourir et je refuse de mourir. « N'approchez pas ! » ordonne-je à ceux qui voudraient me rejoindre. Je veux garder ma mort pour moi seul. Égoïste jusqu'au bout. Mon humanité me revient, un peu trop tard. Juste à temps pour me voir mourir. La dernière image que j'ai eu de ce monde, c'est cette pourriture de Simmons mort et le beau visage de ma Ros, douce Ros.

Je suis étendu sur le sol, j'ai du faire une bonne chut puisque je sens mon dos qui me fait un mal de chien, c'est peut-être ça cette douleur que j'ai ressenti dans mon rêve, mon inconscient qui essaye de me raccrocher à la réalité. Je n'ose pas ouvrir les yeux, de peur de voir que ce n'était pas un rêve. Il paraît que l'inconscient est incapable d'imaginer sa propre mort et pourtant, ça avait l'air si réel, l'espace d'un instant j'ai eu l'impression de sentir la vie me quitter, d'entendre mon cœur arrêter de battre. Qu'est-ce qui m'arrive ? Soudain, je me redresse, ouvrant les yeux, la respiration en désordre, un peu comme si je venais de me noyer et que je retrouvais enfin l'oxygène. Je me sens différent.

« Je ne te reconnais plus Ach' » elle me dit ça et elle s'en va. Bordel, pourquoi elle me dit ça ? Pourquoi ce n'est pas la première à me le dire ? J'entends la porte claquer derrière elle, je ne bouge pas, j'essaie de comprendre. Voilà un moment que je suis partie de Poudlard, ma vie a bien changé maintenant, mais parfois j'ai l'impression que tout s'accélère, que je perds le contrôle. J'ai réussi à entrer dans l'équipe national de Quidditch Anglaise, c'est bien la seule chose dans laquelle je veux bien m'investir. Toutefois, depuis que j'ai quitté mon petit nid douillet qu'était Poudlard, j'ai l'impression de ne plus être le même, c'est peut-être ça grandir. Je suis seul dans mon appartement, beaucoup moins miteux qu'au début de mon indépendance, faut dire qu'être joueur professionnel ça paye bien. C'est vraiment le métier parfait, de l'argent, des femmes et la célébrité que demander de plus ? Je me pose devant un miroir, fixe mon reflet un moment.

Un endroit sombre, une colère sourde. Un goût de trahison dans la bouche, je crache de rage. Mon sang est presque en ébullition dans mes veines tellement je tourne en rond, j'ai l'impression d'être comme un hippogriffe en cage. Une porte s'ouvre, une femme me salut, je la connais bien, un sentiment de rage et de respect se bouscule dans mon esprit. Je ne respecte pas grand monde, je n'aime personne, sauf Ros... mais même elle, elle m'a trahie. La brune se pose devant moi, l'assurance se lit sur chacun de ses traits. Ça aurait pu m'impressionner si je n'avais pas été autant en colère. Elle m'expose un plan de bataille, je ne l'écoute pas. N'arrivant pas à attirer mon attention, elle s'arrête et me parle d'une personne, ses mots sont flous dans ma tête et pourtant, ces mots ne font qu'intensifier ma rage. Elle bouillonne, elle me ronge, elle m'empoissonne. Dans un geste brusque je lui tourne le dos et mon poing vient rencontrer le miroir derrière moi, il se brise dans un bruit de verre énorme.

Je fais un bond énorme, rencontrant un truc qui traînait par terre, me faisant tomber à la renverse. Je peux sentir une fine pellicule de sueur recouvrir mon front. Qu'est-ce qui m'arrive ? C'était quoi ce truc ? J'ai vraiment du prendre quelque chose de fort pour avoir des hallucinations aussi étranges. Je soupire et me redresse, je deviens totalement barge, je vais allé faire la fête pour oublier, tiens.

mon frèèèèèère Di Fazio ♦ Smoke on the water 3746116319

je sens qu'on va encore adorer se détester Di Fazio ♦ Smoke on the water 1639372532

re bienvenue, je suis contente que tu aies décidé de garder le personnage sur la nouvelle version ! bon courage pour ta nouvelle fiche I love you

Comment abandonner Achille ? Il est tellement parfait :)

Techniquement, elle est terminée, je n'attend plus que l'approbation des admins suprêmes.

rebienvenue ici officiellement Di Fazio ♦ Smoke on the water 3057269071

cercei va s'occuper de toi - elle me l'a confirmée Di Fazio ♦ Smoke on the water 3814815974

j'ai déjà quelques idées de lien pour primrose/achille, je viendrai te voir sur ta fiche de liens une fois que tu seras validée Di Fazio ♦ Smoke on the water 2430712914

Di Fazio ♦ Smoke on the water 2430712914

si tu as besoin de quoi que ce soit, demande-le Di Fazio ♦ Smoke on the water 3814815974

J'ai hâte de voir ça alors, j'attend la jolie Circei avec impatience.

ME VOICI, ME VOILAAAA.
Comme la première fois, je tiens à te dire que j'aime toujours autant ta fiche, ta plume est vraiment chouette et puis j'ai hâte qu'on joue notre lien explosif achille/cercei.         (igor qui a tout fait capoter, ils seront jamais tranquille.   )
rebienvenue officiellement parmi nous.

bienvenue

Félicitations, petit padawan, tu es officiellement validé ! Toute ta laïfe, t'as attendu que cet instant pas vrai ? Di Fazio ♦ Smoke on the water 3221580998

Di Fazio ♦ Smoke on the water 3221580998

Bref, tu fais officiellement partie de la grande famille qu'est Amortentia et on est ravis de te compter parmi nous ! Toutefois, ton inscription (et ton intégration) ne sera que plus complète en faisant les deux-trois trucs obligatoires qui suivent la validation. Pas de soucis, ça dure cinq minutes et après, t'es lâché dans la jungle, bby. Di Fazio ♦ Smoke on the water 253734868

Tout d'abord, il te faudra remplir les registres afin de permettre au staff de savoir qui tu es et ce que tu fais (big brother is watching you. Di Fazio ♦ Smoke on the water 2430712914

). N'hésite pas à aller vérifier ça et là si l'équipe administrative a bien fait son job ! Tu peux ensuite aller demander ton logement, ton travail et puis t'es free, bby, il te manque plus que des liens, éventuellement un scénario et des rps ! Entre deux rédactions, n'hésite pas à venir flooder et jouer avec nous ! Et si jamais tu dois partir, passe par les absents, tu serais un amour !
Bref, bienvenue, félicitations, on t'aime, merci. Di Fazio ♦ Smoke on the water 1419458760

Di Fazio ♦ Smoke on the water 1419458760

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